Ecolo bio

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samedi, décembre 2 2023

Le compost collectif, c’est tendance

Il ne s’agit pas d’espaces de rangements des services techniques municipaux, encore moins de poubelles, non mais bien des composteurs mis en place avec l’accord de la Ville et le soutien de la communauté d’agglomération Grenoble Alpes Métropole, explique Caroline Santoni, guide composteur à l’initiative de ce projet.

Que sont ces bacs en bois en bordure du jardin public Champ la Rousse à Echirolles ?

Caroline s’est intéressée au procédé du compostage par l’intermédiaire d’une connaissance qui avait installé avec succès un composteur dans sa résidence. Aussi a-t-elle cherché à le proposer dans sa propre copropriété, composée de 3 résidences mais s’est trouvée confrontée à des préjugés et une fin de non recevoir en conseil d’administration. Elle s’est alors adressée à la mairie et à l’agglo engagées dans la promotion du compostage : la première prête le terrain, un bout de jardin dans un quartier récent écoconçu, et fournit du broyat, qui donne structure au compost et régule le taux d’humidité ; la seconde forme les guides composteurs et les personnes désireuses de composter leurs déchets organiques comme on le fait par exemple chez IBM . Mis en place le 13 mai 2010, les 3 bacs de Champ la Rousse reçoivent les apports d’une vingtaine de familles – sans compter celles qui ne se sont pas inscrites et qui utilisent quand même les composteurs – ce qui correspond à 700 litres de déchets détournés tous les 2 ou 3 mois, et 300 kilos de compost au bout de 9 mois. Ingénieur informatique, Caroline a développé des outils en ligne pour accompagner le projet de compostage : un blog pour Champ la Rousse et un outil d’identification des composteurs dans l’agglomération grenobloise, Compost à Gre.

Détourner 3 % des déchets ménagers Si le compost ne concerne que 0,5% des déchets gérés par la communauté d’agglomération, il a le mérite d’impliquer les habitants, de récolter majoritairement leur adhésion et de rassembler des personnes sensibilisées à la problématique des déchets, soucieuses d’agir au quotidien pour l’amélioration du cadre de vie. L’objectif, selon Catherine Kamowski, Vice Présidente de Grenoble Alpes Métropole, est de parvenir à 3% de compostage au sein de l’habitat collectif comme individuel. Cela passe par un soutien aux composteurs de l’agglo, par des réunions d’information suivies et qui suscitent l’intérêt, mais surtout par de la sensibilisation en milieu scolaire afin que les plus jeunes comprennent l’importance de cet outil dans leur famille, mais aussi dans leur vie future. Composter, c’est donc voir à long terme, dans la gestion des déchets et dans la façon de gérer les ressources au quotidien. C’est apprendre à gérer l’aspect technique du mélange des déchets ménagers et des déchets verts – et montrer qu’il n’entraîne pas de nuisances si ces règles simples de mélanges sont suivies. C’est aussi une réalité, une réussite aujourd’hui, grâce au bouche à oreille, à l’implication et au temps des bénévoles qui voient jour après jour, coup de pelle après coup de pelle dans le compost. Vous en êtes ?

jeudi, mars 30 2023

La psychologie environnementale au chevet du climat

Lors d’une récente conférence, le professeur de psychologie environnementale David Uzzell (Université de Surrey, GB) a donné quelques pistes pour décrypter nos attitudes à l’égard du climat. Et le temps presse : l’Organisation météorologique mondiale a confirmé le 2 février que l’année 2014 a été la plus chaude jamais enregistrée sur la Terre. L’an dernier, la température moyenne à la surface du globe a dépassé de 0,57°C la moyenne calculée pour la période de référence 1961-1990.

Climat : Le XXIe siècle compte déjà 14 des 15 années les plus chaudes de l’histoire.

Alors que faire ? Ou plutôt : pourquoi ne fait-on pas davantage pour le climat ? D'abord, le professeur Uzzell a rappelé à quel point les effets des perturbations du climat nous paraissent théoriques. La fonte de la banquise, l’augmentation du niveau des océans, la multiplication des phénomènes météorologiques extrêmes nous semblent lointains et différés dans le temps. Cette distance spatio-temporelle ne nous incite pas à nous impliquer et justifie notre inaction.

Par ailleurs, les chercheurs pointent le fait que les populations interrogées ne s’attribuent aucune cause directe dans les dérégulations climatiques ; elles désignent l’inaction gouvernementale, l’activité industrielle ou la situation des pays en développement. Or, si toutes ces causes sont exactes, notre responsabilité de consommateur de pays industriels est également directement impliquée dans les émissions de gaz à effet de serre, notamment via notre alimentation (agriculture industrielle abreuvée de produits phytosanitaires toxiques, engrais chimiques de synthèse, transports et importations de biens en zig zag sur la planète rejetant de grandes quantités de gaz carbonique, etc) ou nos choix de mobilité.

Il y a donc là bien un problème d’information des populations. “Les gens ne sont pas intéressés par des concepts comme « sauver la planète » ou « agir pour leurs petits-enfants ». Ils veulent connaître les effets concrets et immédiats sur leur quotidien et savoir en quoi agir en faveur de l’environnement - ce qu’ils considèrent comme un sacrifice - peut leur servir”, a expliqué David Uzzell au Guardian. C’est le principe des compteurs Linky par exemple, qui informent les habitants en temps réel sur leur consommation d’électricité, et les économies résultant de leurs choix (réduire la température des pièces d’un degré, etc).

Enfin, parmi par les moteurs qui nous inciteraient à nous impliquer davantage, il y en a deux derniers. Le premier est souhaitable, c’est de focaliser sur les effets positifs de la lutte contre les changements climatiques, comme la création d’emplois verts : “Nous ne devrions pas parler de la façon dont nos existences vont se détériorer en raison du changement climatique mais de quelle façon il pourrait nous aider à vivre plus heureux, en meilleure santé et dans un meilleur environnement”, poursuit David Uzzell.

Le second est moins heureux, c’est la peur. Des études ont démontré qu’une forte peur peut convaincre la population de la gravité de la situation. Ce fut le cas durant les épisodes climatiques extrêmes récents aux Etats-Unis (tempêtes, cyclones) ou le typhon Haiyan aux Philippines par exemple (il a causé près de 10 000 morts). “Plus de canicules, des périodes de sécheresse prolongées, plus d’incendies de forêts, plus de restrictions alimentaires et de plus nombreuses disparitions d’espèces seraient impossibles à ignorer. Alors, l’inaction se corrigerait d’elle-même, car la menace deviendrait si grande qu’un comportement dilatoire aboutirait à une issue fatale”, ont assuré un groupe de réflexion (Taskforce) dans une étude présentée à l’Association américaine de psychologie en août 2014.

vendredi, décembre 30 2022

LIVRE : Les Colères du temps

Voici un très bel ouvrage, richement illustré et agrémenté d’une iconographie exceptionnelle qui nous entraîne dans une épopée sur les désordres du temps et du climat. Au cœur de ce récit, entre fiction et réalité, on retrouve l’homme, cet apprenti sorcier qui tente de dompter les éléments… Bienvenue dans l’anthropocène, cette nouvelle ère où l’homme règne sur l’environnement. Face à la réalité du réchauffement climatique et à notre responsabilité avérée par les scientifiques du GIEC (voir le rapport du GIEC 2014 ), un autre regard, plus culturel, est il possible ? Que peut nous apporter la compréhension des fantasmes et des mythes climatiques à une époque où les hommes tentent d’ensemencer les nuages pour faire tomber la pluie ?

Original sur le fond, le livre l’est aussi sur la forme, mêlant données scientifiques, historiques, extraits littéraires et affiches de films. Cette approche pluridisciplinaire s’explique par la complémentarité des deux auteurs, l’un, Farid Habdelouahab est historien d’art et commissaire d’exposition, l’autre Frédéric Denhez est journaliste spécialiste des questions environnementales, collaborateur régulier de CO2 mon amour.

Explorant archives et littérature patrimoniale, les auteurs observent l’évolution de notre représentation du temps. Et ils s’interrogent : le climat fait il « histoire » ? Y a t il des constantes, des histoires récurrentes ? L’histoire du climat est marquée par des cycles longs à l’intérieur desquels alternent des périodes tempérées plus ou moins chaudes ou froides. Actuellement nous sommes dans une phase interglaciaire. Il y a vingt mille ans, la glace couvrait le nord de l’Europe, la mer se trouvait 130 m en dessous du niveau actuel, la Manche n’était qu’un fleuve, alimenté par la fonte saisonnière des alpes et se déversait dans le golfe de Gascogne… Mais aujourd’hui, la hausse des températures n’a pas d’équivalent dans l’histoire et surtout elle est cent fois plus rapide que l’évolution de l’ère précédente.

Entre science et culture, la lecture s’enrichit de mille récits, éclairages littéraires ou historiques qui éveillent notre attention. Apocalypse, arche de Noé, déluges grecs, tempêtes et millénarisme médiéval, Robinson Crusoé relu à l’aune du mythe prométhéen… On y relit aussi l’utopie de Fourier qui rêve de reboiser le Sahara en 1820. Ce même Fourier qui constate dès 1822 les dégâts causés par l’individualisme dans sa « Détérioration matérielle de la planète ». On y apprend que l’interventionnisme humain sur le climat remonte à 1891, quand le scientifique L. Gatham introduit, via des obus, du dioxyde de carbone dans les nuages pour provoquer la condensation de la vapeur d’eau et la pluie. Des expériences amplifiées après WW2 et qui se poursuivent aujourd’hui dans le plus grand secret.

Depuis Aristote, l’homme sait que la déforestation et le déboisement modifient le climat, et l’homme est conscient de son pouvoir : en 1778, Buffon écrit déjà que s’il le désirait, l’homme pourrait « fixer » la température au point qui lui convient… En refermant cet ouvrage venu de la nuit des temps, je me dis que l’esprit millénariste qui revient planer régulièrement sur nos têtes, invoquant la catastrophe finale, ne fait plus assez peur à l’apprenti sorcier contemporain. Mais je sais aussi qu’une poignée d’intelligences lucides peut empêcher les dérives ; l’espoir n’est jamais vain.

Les Colères du temps, de Farid Habdelouahab et Frédéric Denhez, Libella 2014, 29 euros. Préface d’Emmanuel Leroy Ladurie.

mercredi, novembre 9 2022

Optimiser le coût de votre rénovation énergétique, quelques conseils pratiques

Aujourd'hui, rénover une maison afin de suivre les normes RT 2012 ou 2020 imposées par l'État ou encore afin de la vendre ou de la louer s'avère être nécessaire, voire primordial. Mais rénover une maison n'est pas chose aisée, surtout au niveau des dépenses. Ainsi, pour éviter les mauvaises surprises et dépenser plus que vous ne l'aurez imaginé, voici quelques conseils pratiques pour optimiser le coût de votre rénovation.

Effectuez un diagnostic des travaux à faire

Avant de vous lancer dans les travaux de rénovation, il vous faudra d'abord savoir quelles parties de la maison rénover. Ceci vous évitera de vous tromper dans les calculs des dépenses à effectuer pour les rénovations et de faire des dépenses inutiles. Ainsi, faites un diagnostic des travaux à effectuer dans la maison. Pour cela, faire appel à un artisan professionnel vous sera nécessaire. Il vérifiera votre maison de A à Z pour trouver les éventuels problèmes. Il vérifiera donc la structure de votre maison, parfois avec un logiciel de simulation 3D, les éventuels problèmes à risques potentiels comme les fuites d'eau, l'étanchéité de la toiture, les installations électriques défectueuses, etc.

Faites un devis des travaux

Après avoir effectué un diagnostic des travaux à faire, il sera nécessaire de faire un devis rénovation à Carcassonne à effectuer. Ceci est très important, car il vous permettra de savoir combien les travaux pourront vous coûter au final. Il va de soi qu'il vous faudra faire appel à plusieurs artisans professionnels pour avoir des avis différents et ainsi voir la faisabilité des travaux. Ceci parce que les artisans ont chacun leur approche par rapport à un même chantier. Et les avis qui diffèrent les uns des autres vous donneront plus de confiance sur le choix des rénovations à faire et surtout de l'artisan qui fera les travaux par rapport à la qualité/prix.

Faites appel à un professionnel qualifié RGE

Aujourd'hui, il est nécessaire, voire impératif, pour tout le monde de faire appel à un professionnel qualifié RGE pour faire ses travaux de rénovation. Ceci parce que ce type d'artisan est qualifié pour faire des travaux de rénovation énergétiques. Et l'avantage d'en engager un est simple, vous pourrez bénéficier des subventions de l'État pour vous aider dans le financement de vos travaux de rénovation. À savoir l'éco-PTZ. Mais outre ceci, vous aurez une maison qui ne sera pas énergivore. Ce qui est un bon investissement, car vos factures énergétiques baisseront après les travaux si votre maison ne suivait pas la norme BBC et RT auparavant.

Bref, faire des travaux de rénovation peut s'avérer être cher, mais vous pouvez limiter les dépenses en faisant appel à des professionnels qui vous aideront à optimiser le coût de ceux-ci. Ainsi, vous serez serein tout le long des travaux et vous pourrez penser aux autres dépenses liées aux détails, néanmoins utiles, pour compléter ces rénovations. À savoir les détails décoratifs comme le choix des couleurs des murs, des modèles de luminaire intérieur à choisir pour votre nouvel intérieur, les nouveaux meubles à installer dans le salon, etc.

jeudi, septembre 1 2022

Ecologie : des idées pour un automne plus vert

L’écologie, c’est tendance, on a toutes envie de s’y mettre. Mais on commence par où? Nos pistes pour vous lancer! Exit les années 70, toutes en peau de mouton et laine brute qui gratte! Aujourd’hui, l’écologie c’est aussi bien un T-shirt branché qu’un hôtel design. Mais c’est pour mieux nous séduire. Du coup, laisser couler l’eau quand on se lave les dents ou manger des fraises en décembre est devenu totalement ringard. Bref, l’environnement n’est plus une question qui ne touche qu’une poignée de fanatiques: dans la foulée d’Al Gore, on a compris que tout le monde est concerné. Autant mettre un peu de vert dans nos vies dans la bonne humeur. Je me fringue en coton bio. Chez H&M, cet automne, il y en a à tous les rayons. Dans le monde, la culture conventionnelle du coton représente 2,4% des surfaces agricoles et 24% des pesticides utilisés.   Je fais mes courses sur Internet. Parce que c’est une seule personne qui livre tout le monde au lieu de vingt-cinq voitures qui se rendent au centre commercial. Une jolie économie de temps, d’énergie et de CO2.   Je mange local. Ce qui ne veut pas forcément dire «triste». Prenez par exemple la pomme de terre suédoise bleue: elle pousse chez nous et n’a pas son pareil pour donner l’air branché à un simple plat de gnocchis. (Pro Specie Rara, chez Coop, en octobre).   Je mets de la couleur dans ma salle de bains, j’installe un Aquaclic sur mes robinets. Cet aérateur d’eau permet de faire passer sans le remarquer le débit d’un robinet de 10 à 15 litres/minute à 6.



  Je mange de saison. Je ne sais plus quand les artichauts sortent de terre? J’investis dans les manuels de cuisine saisonnière des Editions Fleurus, «Régal d’automne» et «Régal d’hiver» ou encore «Nutrition Consciente» de Marion Kaplan sur la Librairie SAPHIRA, qui me donnent des tas de bonnes idées toutes simples !   J’inscris du poisson local au menu: bondelle, truite fumée, palée, ça épatera belle-maman qui ne sort pas de son saumon, et ça ne contribue pas à vider les mers. Pour les plus exotiques, je me fie aux labels MSC (Marine Stewardship Council) pour les poissons et fruits de mer sauvages, et aux labels bio pour ceux d’élevage. Pour les espèces qui n’ont aucun label, je suis le guide du WWF à télécharger sur www.wwf.ch. Et dans tous les cas je boycotte le thon rouge pendant qu’il y en a encore.  

vendredi, janvier 28 2022

Conception de salles de bains modernes et ecologique dans les Pyrénées Orientales

Aujourd'hui, les salles de bains sont un lieu de retraite pour échapper au stress de la journée. Les chauffe-serviettes, les distributeurs de savon, quatre ou cinq pommeaux de douche dans une cabine de douche, les baignoires indépendantes et un emplacement pour la télévision font désormais partie du nouveau design de la salle de bains. La salle de bains moderne n'apporte pas seulement le confort dans votre maison de Perpignan, elle met l'accent sur les lignes droites, l'espace, les miroirs, le chrome, l'acier inoxydable, le noir, le blanc et les tons neutres. La salle de bains moderne est un voyage au spa, un lieu de sérénité. Elle est écologique !

Le design de la salle de bains moderne est un design minimaliste. L'aspect est spacieux et simple mais élégant. Peu de couleurs sont utilisées. Si les murs sont peints, il s'agit de couleurs douces et apaisantes. Les tons neutres, y compris le noir et le blanc, sont courants. Les lignes sont simples. Les surfaces sont lisses. Il n'y a pas de désordre, pas de bibelots et pas de motifs complexes. Le look est "sans chichis". Tout devis rénovation salle de bains à Perpignan , met l'accent sur les lignes droites à travers les éléments de la salle de bains. Les robinets sont lisses et de forme géométrique. Les lavabos sont fixés au mur. Même les vanités peuvent être montées au mur. Les choix les plus courants sont l'acier inoxydable, le verre et la céramique. Les toilettes sont épurées et monoblocs. Les portes d'armoires sont solides pour éviter l'impression d'encombrement. La quincaillerie est minimale. Certaines armoires sont équipées de loquets tactiles qui renforcent l'aspect épuré.

Envisagez un sol chauffant pour plus de confort, même si dans les Pyrénées orientales il ne fait pas vraiment froid. Si un sol chauffant n'est pas envisageable, choisissez des carreaux de grande taille pour un aspect spacieux. Le marbre travertin est un look moderne, tout comme le bois dur. Au lieu d'un tapis de salle de bains ordinaire, optez pour un tapis de laine en peluche. Les tapis de style persan peuvent ajouter un élément intéressant à un design moderne.

L'éclairage de type "canette" fonctionne dans une salle de bains moderne, de même que les variateurs d'intensité pour créer un effet de douceur. Placez des lampes à incandescence près du meuble-lavabo. Les puits de lumière ajoutent de la lumière naturelle. Les fenêtres laissent entrer plus de lumière naturelle, ce qui est un aspect important de la décoration moderne. Réduisez au minimum les traitements des fenêtres.



Les serviettes organiques en peluche font partie du décor moderne. Les bougies et les sels de bain pour un bain relaxant peuvent également servir de décoration. Un porte-serviettes chauffant, des miroirs antibuée et un distributeur de savon sont pratiques. Un miroir grossissant mural est indispensable. Les miroirs au sol et les carreaux miroirs font partie du design moderne des salles de bains. Envisagez une baignoire à remous ou une baignoire de trempage. Les douches en verre avec plusieurs pommeaux de douche sont une autre option.

jeudi, septembre 17 2020

Laver son linge de manière écologique - suite

Choisir une machine moins gourmande, lorsque vous devez en changer, en regardant l'étiquette-énergie apposée dessus, c'est-à-dire en privilégiant les lettres A ou B. Venons-en maintenant aux produits qu'on ajoute dans la machine. A savoir : la lessive et/ou les adoucissants. Que peut-on faire pour réduire leur impact sur l'environnement ?

Mettre un peu moins de lessive que la dose habituelle. Vous verrez, ça ne changera rien. Opter pour une lessive bio. Oui c'est plus cher mais quand je vois mes enfants sucer leur doudou, je me dis que je n'ai pas trop envie qu'ils ingèrent la moindre molécule de produit chimique de synthèse par une action aussi anodine... et fréquente !

On peut aussi opter pour les noix de lavage originaires d'Inde et du Népal, riches en saponine, et qui représentent aussi une lessive 100 % naturelle. Ou encore acheter des balles qui vont battre le linge plus efficacement qu'une machine classique. Enfin, si vous le pouvez, faites sécher votre linge en utilisant un fil à linge plutôt que le sèche-linge, car je vous le rappelle, l'air et le soleil sont gratuits - enfin, pour l'instant... - et produisent une énergie re-nou-ve-la-ble qui n'épuise pas les ressources naturelles de la Terre.

jeudi, juillet 30 2020

Laver son linge de manière écologique

S'il est un travail ménager qui croît de manière exponentielle lorsqu'on a des enfants en bas âge, c'est bien le lavage des vêtements. Heureusement pour nous, il faut bien le reconnaître, les machines à laver le linge nous facilitent bien cette tâche. Sans mauvais jeu de mots. Alors, c'est vrai, la machine à laver le linge est une invention géniale. Et petite parenthèse pour votre information, sachez qu'il ne s'agit pas vraiment d'une invention récente, puisque le premier brevet date de 1797 ! Parenthèse fermée pour vous confirmer qu'une machine à laver est une invention géniale mais qu'aussi placide et innocente qu'elle puisse paraître, elle n'est pas neutre en terme d'impact sur l'environnement.

Pour quelles raisons ? La consommation d'eau, la consommation d'énergie et les produits de lavage qu'on y ajoute.

Alors, pour chacun de ces trois facteurs, il est possible d'agir, et de manière très simple. Prenons la consommation d'eau : que peut-on faire pour la réduire ? Mettre sur position "Eco", bien remplir la machine et ne pas laver systématiquement à tout va, comme en a un peu l'habitude ma belle-mère... Et concernant la consommation d'énergie ? Ne pas forcément laver à 60 °C quand on le peut à 40 °C (pour info : un cycle à 30/40 °C consomme trois fois moins d'énergie qu'un cycle à 90 °C).

Bien remplir la machine également - pleine ou à moitié vide, l'énergie consommée pour faire tourner le tambour est la même -, vous procurer la toute nouvelle lessive à froid qui vient de sortir et qui évite donc de chauffer l'eau (consommation d'énergie divisée par deux).

vendredi, juin 19 2020

Ensoleillement : La réponse en 3 clics

ensoleillement.jpgQuel est le degré d’ensoleillement de son habitation ? Est-il judicieux de faire installer sur sa toiture des panneaux solaires ? Le site « Sun Time » permet d’apporter des réponses précises à ces questions en quelques clics. Il suffit d’indiquer son adresse, de chercher sa maison sur une photo satellite et d’aligner un repère sur sa façade, pour obtenir le nombre d’heures d’ensoleillement par an et par mois, corrigé des éventuels obstacles (arbres, collines…) que l’internaute aura lui même dessiné devant son habitation. Coût de l’opération : 2,90 euros.

jeudi, mai 14 2020

Des panneaux solaires au Vatican

Le Vatican ne reçoit plus seulement la lumière divine. L'Etat vient en effet de se convertir à l'énergie solaire en inaugurant sa première installation d'énergie propre. Il s'agit d'un peu plus que d'une installation symbolique, puisque pas moins de 2400 panneaux solaires épousent le toit incurvé de la salle Paul VI, tout près de la coupole de la basilique Saint Pierre.

Des panneaux solaires et moins de rejet de CO2

L'installation de panneaux solaires photovoltaiques pourra fournir 300 MW sur l'année, avec des pics de 221 KW/heure, selon le Vatican, et alimentera tout ou partie du bâtiment, permettant d'économiser chaque année plus de 80 tonnes de pétrole.

D'autres énergies renouvelables à l'étude

Cette première installation de renouvelable en appelle d'autres, puisque l'objectif est de produire en énergie renouvelable 20% des besoins d'ici 2020. Cet objectif correspond à celui fixé par l'Union européenne aux Etats membres. Une structure pourrait prochainement être construite sur le site de Radio Vatican à Santa Maria di Galeria, au nord de Rome. Selon Pier Paolo Cuscianna, l’installation de panneaux solaires sur une superficie de 300 hectares pourrait permettre d’y produire 6 fois plus d’électricité que n’en consomme la structure accueillant les immenses antennes de Radio Vatican. Le Vatican deviendrait alors un producteur net d'électricité, puisque l’électricité en surplus serait alors vendue à un fournisseur extérieur.

L’énergie solaire sera également exploitée à partir de 2009 sur le toit de la cantine des employés de l’Etat de la Cité du Vatican. Des panneaux solaires devraient cette fois-ci permettre la production d’eau chaude ou froide pour climatiser le bâtiment. En outre, l’Allemand Frank Asbeck, président et administrateur délégué de la société SolarWorld, a confié son intention d’offrir au pape une papamobile écologique fonctionnant à l’énergie solaire.

mardi, avril 9 2019

Un salon de jardin nature

Afin d’apprendre à respecter notre environnement, il y a des gestes écologiques que l’on peut faire tous les jours. A l’occasion de la semaine sans pesticides, découvrons des petits gestes du quotidien à mettre en pratique dans son jardin…

Mettez-vous au vert ! A l’extérieur ou à l’intérieur, ce drôle de mobilier fera le bonheur de tous jardinier amateurs ! Édité par la marque B-ton Design, ce mobilier à jardiner a été imaginé par 5.5 Designers. La structure, très solide, est en béton et les dossiers ou accoudoirs prennent la forme de jardinière où vous pourrez faire pousser tout ce que vous voudrez. Une table basse assortie offre un plateau de gazon, pour un apéritif au naturel !

mardi, mars 12 2019

Une terrasse en bois écolo

Choisir le bois Le choix de l’essence de bois utilisé lors de la construction de votre terrasse est primordial. En effet, dans le cas d’une utilisation d’un bois exotique mal exploité, le bilan écologique peut se révéler être négatif. Certains bois proviennent de forêts mal exploitées. En l’achetant, vous contribuerez à la destruction des écosystèmes et des forêts primaires. De plus, acheminer le bois depuis un pays lointain est très mauvais en terme de pollution due au transport. Ainsi, il est nécessaire de rester vigilants !

Le bois composite Pour obtenir un matériau composite, on assemble au minium deux matériaux différents. Le bois composite est une excellente solution dans l’aménagement d’une terrasse. En effet, ce matériau est durable, esthétique et écologique. De plus, ce bois ne nécessite aucun entretien !

jeudi, janvier 31 2019

écologique :Un jardin sans eau

Les astuces de la Nature L’écologie est à l’ordre du jour, mais cela ne signifie pas que les jardins doivent perdre de leur éclat. En effet, de nombreuses plantes vous raviront les yeux tout en ne demandant que très peu d’eau. En règle générale, ces végétaux possèdent des racines profondes, qui peuvent aller chercher l’eau très loin. En complément, elles disposent de racine à fleur de terre qui pourront avaler la moindre rosée. Ce sont des plantes à feuillage réduit car en limitant la surface exposée, elles réduisent l’évapotranspiration.

Le jardin d’Elie Alexis Elie Alexis est le créateur d’un jardin qui s’inscrit dans la problématique actuelle de développement durable et de respect de l’environnement. En effet, ce jardin paysager, ou jardin sec, ne vit que par l’harmonisation naturelle des plantes et du milieux. Le jardin n’a pas besoin d’apport supplémentaire ni en eau, ni en électricité. Sans source, ni puit, Elie Alexis a su faire pousser de nombreuses espèces de plantes qui s’acclimatent de manière naturelle à l’environnement de la Provence Verte.

jeudi, décembre 27 2018

Un arrosoir écologique

Futé et écolo Cet arrosoir n’est en fait qu’un manche qui se visse sur différents types de bouteilles en plastique. Très malin, ce système permet de donner une deuxième vie à vos vielles bouteilles. Créé sur le principe du recyclage, cet arrosoir permet de réutiliser des objets du quotidien dans un contexte complètement différent. Vos plantes ne seront pas les seules à l’apprécier !

Mon arrosoir écolo Vous pourrez trouver de nombreux modèles d’arrosoirs écolos. En effet, il est possible de récupérer divers matériaux ou vieux objets afin de réaliser un arrosoir écologique et économique. Nature & Découvertes propose, par exemple, un arrosoir recyclé, réalisé en feuilles de métal destinées à être jetées. Ce patchwork de matières trouve alors une seconde utilité au jardin !

samedi, novembre 10 2018

Le solaire au jardin

Les lampes solaires A la tombée de la nuit, votre jardin s’illuminera comme par magie ! En effet, grâce à toute une gamme de lampes solaires, vous pouvez désormais éclairer votre jardin de manière naturelle et économique. De plus, plus besoin de branchement, vous pourrez disposer ces lumières solaires où vous le souhaitez ! Ces lampes emmagasinent la lumière solaire durant la journée et la restituent naturellement à la nuit tombée.

Suggestions de disposition Rien de tel qu’une touche de lumière pour éclairer le feuillage d’un bosquet ou un arbre. Votre jardin prendra une toute autre dimension dès le soleil couché ! Veillez cependant à ne pas disposer les lampes solaires sous un feuillage, elles doivent pouvoir absorber la lumière durant la journée. Ces lampes solaires pourront également montrer aux visiteurs le chemin jusqu’à l’entrée…

dimanche, avril 1 2018

livre :Séchoirs solaires

Pommes, figues, tomates, abricots, mais aussi champignons, carottes, courgettes ou encore herbes aromatiques, autant de produits délicieux que l’on aime conserver pour une dégustation hors période de production.

Et pour une conservation naturelle et riche en substances nutritives, rien de tel que le séchoir solaire. Alors, à l’approche de l’été et des grandes récoltes dans le potager,

c’est le moment idéal de vous parler de cet ouvrage dont le but n’est rien d’autre que de vous aider à construire votre propre séchoir solaire. Des pas à pas en images vous guideront ainsi dans la réalisation d’un séchoir à plateaux ou encore en tunnel (pour les climats moins cléments), vous y découvrirez également des astuces pour perfectionner l’outil, comme l’installation d’un ventilateur ou bien encore le couplage avec un séchoir à feu de bois. L’auteure n’oublie pas non plus de mentionner aliment par aliment ses conseils de préparation pour un séchage réussi.

À vous ensuite les chips de légumes, les pâtes de fruits et les fruits séchés dans vos sacs de randonnée. Ne reste plus qu’à vous souhaiter un bon bricolage et un bon appétit…

sechoirs.pngClaudia Lorenz-Ladener Éditions La Plage -  

vendredi, février 2 2018

Géothermie, pompe à chaleur : le pour et le contre d'un dossier brűlant

Sous les pavés, la plage, et sous le gazon... les calories. Là, juste sous nos pieds sommeille bien plus que de la chaleur qu'il n'en faut pour chauffer notre maison. Le sous-sol est une mine de calories. Sources thermales, éruptions volcaniques, laissent entrevoir l'immense quantité de chaleur produite par notre planète. Mais il n'est pas pour autant nécessaire d'habiter sur un volcan pour profiter des calories contenues dans la terre : il suffit de capter la chaleur douce partout présente sous nos pieds !

C'est ce que permet une machine extraordinaire : la pompe à chaleur. Pourquoi aller forer des puits de pétrole dans le désert quand on peut puiser l'énergie directement dans son jardin ?

Présentée comme une panacée par les uns, dénigrée par les autres, la pompe à chaleur suscite la polémique. Devant la quantité de questions que nous recevons à son propos, il paraît utile de clarifier le sujet. C'est l'objet de ce dossier qui promet d'être brulant !

Pour fonctionner, cette merveilleuse machine à besoin d'une quantité importante d'électricité, qui en France est d'origine nucléaire ou thermique, ce qui nous place devant le paradoxe : produire des déchets nucléaires et des gaz ŕ effet de serre pour capter une énergie renouvelable.

Solution contre l'effet de serre ou bombe à retardement ? Thermodynamique ou thermodynamite ? Nous tenterons de déterminer l'impact réel d'une pompe à chaleur sur l'environnement, en le comparant à celui d'autres types de chauffages et proposerons des solutions alternatives constructives et des pistes d'action

jeudi, juin 8 2017

Eau en bouteille vs Eau du robinet

La consommation en bouteille d’eau par les Français est en chute libre. En temps de crise, nous avons instinctivement décidé de réduire nos dépenses, et l’eau en bouteille est passé dans la catégorie « produit de luxe »…

Même si la consommation reste importante (on compte 100L d’eau en bouteille par an et par personne – avec tout ce que ça implique au niveau environnement et recyclage), les ventes ont baissé de 20% de 2010 à 2016…

Les grands noms connus (Evian, Badoit, Volvic, Cristaline, Thonon, Vittel, Perrier, Saint Yorre…) subissent la crise et ont décidé de réagir. Evian a parié sur le vert : depuis janvier 2010, la société a mis en place le service « Evian chez vous ».

Un camionnette rose circule dans un quartier de Paris (zone test) et livre chez vous, gratuitement, vos packs d’eau Evian. Cette nouvelle campagne de promotion vente les mérites d’Evian à s’investir dans l’environnement et le respect de la nature. Le circuit de production et d’acheminement de l’eau en bouteille est réalisé de manière à garantir une empreinte carbone minimum : transport en train, puis livraison en camonionette hydride, électrique ou au gaz… En plus de vous faciliter la vie en vous livrant vos bouteilles d’eau, Evian veut mettre l’accent sur l’écologie…

La polémique autour de l’eau du robinet est complexe… peut-on vraiment la consommer ? La meilleure réaction pour savoir si l’eau du robinet de votre ville est « propre » ou non à la consommation est de demander à votre mairie ou de vous renseigner auprès de votre service des eaux de votre ville. En général, ils ont à disposition des rapports récents d’étude de l’eau du robinet.

Dans de nombreuses villes, nous avons constaté que la consommation d’eau du robinet convient parfaitement. Du coup, s’il faut comparer, elle est moins cher, elle est livrée gratuitement chez vous, elle n’est pas emballée (donc moins de déchets)… c’est tout benef ! Il reste la question du goût… certain vous diront que l’eau en bouteille a meilleur goût que celle du robinet. Le mot clef, c’est le mot goût, et ils sont tous dans la nature. Nous sommes tous différents et nous avons des besoins et des envies qui peuvent diverger de ceux de nos voisins.

mercredi, décembre 21 2016

Le pouls de la planète

Le web a des outils qui donnent, au sens propre, la température du monde. Trouvé via Neomansland, blog toulousain sur l’environnement, après les Siftables , voici l’outil Breathing Earth, qui permet d’avoir en temps réel une estimation des émissions de gaz à effet de serre par pays.

En glissant la souris sur la carte, on voit que la France émet 1000 tonnes de CO2 toutes les 1,4 minutes, les Etats-Unis, toutes les 5,4 secondes. Poodwaddle.com propose, sous formes d’horloges des compteurs de statistiques: population, nombre de barils de pétrole extraits, disparition des espèces. Ces chiffres sont des estimations calculées à partir de sources américaines, la CIA, pour l’extraction de barils, ou encore la National Wildlife Federation qui estime à trois le nombre d’espèces qui disparaissent chaque heure.

L’outil se personnalise et l’on peut se créer sa propre horloge de statistiques.

Mis côte à côte, ils permettent d’estimer d’un coup d’oeil l’ampleur des phénomènes. En cliquant sur Top, on assiste à un décompte en temps réel.

dimanche, novembre 27 2016

Ma beauté ne connait pas la crise

Budget vacances, augmentation du coût de la vie, incertitudes au regard de l’avenir. Nombreuses sont les raisons qui peuvent faire que l’on soit obligé de considérer avec prudence les dépenses relatives aux produits cosmétiques. Pour autant, il existe quelques petites astuces pour permettre de ne pas sacrifier l’entretien de votre beauté.

Les fausses bonnes idées Qui pense « économie » pense parfois « produits faits maison », pour lesquels il n’est pas difficile de trouver des recettes. L’idée de faire soi-même quelques produits est a priori séduisante mais les inconvénients sont aussi nombreux (voir Votre Diététique d’août 2004) : coût des matières premières de qualité souvent élevé, complexité de certaines recettes, efficacité aléatoire et parfois à court terme, durée de vie limitée de certaines matières premières et surtout des produits finis, sensibles à l’oxydation et à la dégradation microbiologique.



Autre fausse bonne idée Se contenter d’utiliser des échantillons glanés à droite et à gauche. Un sujet que nous avons également déjà abordé, en réponse à une question de lectrice . Cela nous avait d’ailleurs valu une lettre virulente d’une personne qui nous disait qu’il fallait bien qu’elle essaie avant d’acheter. Rien de plus normal en effet que de vouloir être sûr que le produit convienne bien à votre attente, autre façon de ne pas gaspiller. Mais de là à accumuler les « échantillons gratuits » que l’on demande d’envoyer « gratuitement » ou bien accaparer un conseiller en magasin, pour finalement ne demander qu’un échantillon et ne jamais rien acheter, il y a une limite à ne pas franchir. Entretenir au long terme sa peau avec uniquement des échantillons signifie en effet que celle-ci ne bénéficiera jamais de l’action soutenue d’actifs en synergie (ce qui est le cas quand vous employez le nettoyant, le tonique et les crèmes de jour et de nuit d’une gamme précise).

C’est également risquer, en passant rapidement d’une formule à une autre, de perdre les bénéfices certains offerts par les actifs… sans parler du risque multiplié de tomber sur des ingrédients, même bio, que votre peau ne supportera pas. Enfin, qui dit produits naturels et respectueux de l’homme et de son environnement dit également respect d’une certaine éthique. Et derrière ces échantillons auxquels certains estiment avoir « droit gratuitement », il y a aussi des entreprises (souvent familiales) pour qui ces échantillons sont une dépense, d’investissement certes, mais une dépense quand même. Il ne faut pas l’oublier.

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